Le décor du départ pour New York est planté. L'arrivée à Roissy est digne de la science fiction, car l'aéroport baigne dans une atmosphère rouge. L'aurore offre vraiment toujours les plus belles couleurs.
Après, les premières complications apparaissent : retour sur terre !
Fin des grèves, bagage abandonné, résultat des courses près de 2 heures pour rejoindre le terminal 2D au terminal 2E en bus.
A l'approche du détecteur de métaux, après 1 heure de queue, finalement le personnel de l'aéroport ouvre plus de passages, qui vois-je alors me coiffer au poteau et passer devant moi sans me voir ? Manu !
Surpris par ma coupe de cheveux, ou plutôt ma coupe sans cheveux, Manu me reconnaît quand même. Nous décidons de fêter nos retrouvailles par un Café et un Coca. Et oui, n'oublions pas que l'on va à New York pour courir un marathon.
Le retard semble vouloir devenir dominant dans cette journée puisque nous avons appris un retard de 1 heure du vol pour pour New York, qui au final deviendra 2 heures pour décoller enfin vers 15H15. Place 42A & 42B de ce Boeing 747, nous y sommes c'est sûr ! Après plusieurs minutes de vol, Manu décide de baptiser l'avion, ou plutôt les toilettes de l'avion... Le stress, la fatigue peut-être ? N'oublions pas que nous n'allons pas à New York pour du tourisme ou du shopping, mais pour entrer dans la légende de cette course mythique.
Ça y est ! Les roues de l'avion touchent le sol américain : nous sommes à New York. Et pour ne pas changer, encore une queue de près d'une heure pour faire les formalités d'entrée, avec un agent qui a la même coupe que moi. Nous rejoignons un bus, puis fausse alerte, il faut ressortir et changer. Comme si nous étions pas fatigué...
Sauf que ce soir ce sera pâtes et boulettes dans un resto avec vue... sur le métro !
23H00 : nous sommes épuisés et nous allons nous coucher, il est tout de même 4H du matin en France. Même si avant nous ne résistons pas à aller faire un tour sur Times Square.
1 commentaire:
Emouvant, on s'y croirait. Enfin, surtout moi.
Voila le coté génial, j'ai la tête pleine de souvenirs. Allez, vite, j'attends la suite...
à +
Manu
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